Pour exemple concret sur l'aquario, une allèle est la version d'un gène (A1 ou A2) que l'on associe par deux
sur une paire de chromosome. On a donc comme combinaison possible (génotype) (A1A1; A1A2 ou A2A2) avec (A1A1 et A2A2: homozygote et A1A2 heterozygote).
Si on considère que A1 correspond au gène recessif (non dominant)couleur rouge des poissons et que A2 correspond
à la couleur blanche des poissons. On aura comme génotypes (RougeRouge le gène récessif s'exprime car il y a homozygocie, RougeBlanc le blanc qui est dominant masque le rouge et c'est pour cela que lorsque l'on croise un poisson rouge avec un poisson blanc on retrouve plus de blanc que de rouge en moyenne (idem pour les yeux bleus ou la couleur blonde des cheveux
qui sont des gènes voués à disparaitre dans à peu près 2000 ans).
J'essaie de simplifié sans faire trop d'erreur mais c'est dur
.
Puis pour ce qui est de la consnaguinité,
je maintient Carine que ca aboutit à des poissons plus fragiles.La consnaguinité résulte du croisement entre individus apparantés, c'est à dire entre individu ayant un ou plusieurs ancetres
communs. Du point de vue génétique, la consnaguinité a essentiellement pour effet d'augmenter l'homozygotie sur un ou plusieurs
gènes.
La plupart des organismes portent des allèles récessifs nuisibles qui ne s'expriment que sous forme homozygote. S'il s'expriment on assiste à la production de phénotypes anormaux ou léthaux. La probabilité d'appariement de ces allèles récessifs délétères augmente avec le degré de parenté des parents.
L'expression de ces allèles entraine généralement un affaiblissement des phénotypes (ce que l'on voit) tels que la survie, croissance, fécondité,.... mais aussi une augmentation du taux d'anomalies (infirmités, malformations, mort au stade juvénile).
Chez les poissons, on obsreve les premiers problèmes à partir de 0.5% de consanguinité et à partir de 5% cela devient grave.
Voilou.